
GINA

CLEMENT
Notre histoire
Avoir un rêve !
Mon histoire commence à l’âge de deux mois, un âge dont on ne se souvient pas en général mais qui a été pour moi le début d’un beau voyage. J’ai été adoptée au Vietnam par un couple d’origine calabraise, qui m’a emmenée découvrir ce beau pays qu’est l’Italie. Ce pays m’a fait découvrir la qualité Made in Italy et le style italien, deux choses que je chéris tant qu’elles m’ont donné l’envie de créer ma propre marque, dont je vous parlerai plus en détails par la suite.
Continuons mon histoire… J’ai vécu en Italie jusqu’à mes 14 ans. A ce moment-là, mes parents ont décidé de venir en Suisse, pour diverses raisons liées à la crise économique en cours, mais aussi parce que ce pays leur a permis de m’adopter officiellement. J’étais dans l’adolescence lorsque je suis arrivée en Suisse, période sujette aux changements, durant laquelle notre identité se forme et on décide gentiment vers quel métier se diriger. Ce changement de pays m’a mise face à beaucoup de défis et de sacrifices. Oui, les changements font partie de la vie, même s’ils ne sont pas toujours souhaités… Ce qui m’a aidé à surmonter celui-ci a été d’avoir un objectif clair pour mon futur professionnel. J’ai assez vite senti que le monde de la beauté et plus particulièrement celui de la coiffure était exactement le monde dans lequel je voulais évoluer ! C’est aussi à ce moment-là que j’ai compris que l’on n’a pas rien sans rien et que je devrai retrousser mes manches et ne rien lâcher pour atteindre mes objectifs.
Je vais m’arrêter là pour cette première partie et pour l’illustrer, je vous laisse avec cette photo de moi enfant. Elle représente parfaitement la petite fille avec tellement de rêves qu’elle ne savait pas s’ils se réaliseraient un jour, mais qui avait déjà cette capacité à rêver toujours plus fort pour les réaliser.
Rêver ensemble c’est rêver plus grand !
Reprenons mon histoire, pour que vous compreniez comment je suis passée de cette petite fille rêveuse à cette femme qui a réalisé certains de ses rêves.
A 14 ans, j’étais sûre de ce que je voulais faire dans ma vie professionnelle : travailler dans le monde de la coiffure ! Je me suis donc lancée dans un apprentissage pour atteindre cet objectif. Oui c’était fatigant et ça demandait beaucoup d’énergie pour assimiler toutes les informations, les techniques, mais aussi comprendre et réaliser les souhaits des clientes. Pourtant à aucun moment je n’ai regretté mon choix, je savais que j’avais pris le bon chemin !
Au cours des années suivantes, j’ai rencontré l’amour de ma vie, mon mari et père de ma fille. Nous étions très jeunes, mais de suite nous nous sommes bien entendus et rendus compte que nous avions de beaux projets pour notre avenir, avec surtout une grande envie de les mettre en pratique !
Lorsque j’ai eu 19 ans, Yannick et moi avons décidé d’ouvrir une entreprise ensemble, nous permettant ainsi de combiner ma passion pour la coiffure avec ses compétences en leadership d’entreprise. Yannick a toujours eu l’oeil pour investir, il avait d’ailleurs déjà investi avec succès dans l’immobilier.
Nous avons décidé d’ouvrir le salon dans la vieille ville de Fribourg, dans une rue peu passante. Il nous a fallu beaucoup d’imagination pour transformer ce local en quelque chose de beau. Une chose était sûre : d’un point de vue esthétique, ce lieu devait refléter ma personnalité et ce même s’il y avait de nombreux travaux à faire. Nous avons rénové l’endroit de nos propres mains, avec l’aide d’amis dans le métier : changement de fenêtres, de portes et même de sanitaires. Le tout a pris deux mois, mais cela nous a vraiment permis de donner au lieu le look que je souhaitais. Le fait de l’avoir fait soi-même nous a permis d’avoir encore des fonds pour investir ensuite dans du matériel et des produits de qualité. Si vous avez créé votre entreprise en partant de zéro, vous savez qu’il y a beaucoup de choix à faire et d’énergie à investir. Les nôtres ont été payants !
Pour le logo et le nom, mon mari et moi voulions quelque chose qui représente la coiffure de manière simple, mais aussi élégante et glamour. C’est ainsi que notre logo et le nom ont pris forme. L’entreprise a été officiellement créée le 5 août 2014.
Je vous raconterai plus en détails le développement de Coiff’Emoi dans la prochaine partie et vous laisse avec cette photo de notre couple au début de Coiff’Emoi, des rêves plein la tête, que nous avons pu réaliser grâce à notre vision commune.
Comment je suis devenue coiffeuse pour femmes uniquement !

Je me souviens très bien des premiers mois après l’ouverture du salon. Le téléphone ne sonnait pas, personne ne connaissait ce nouveau salon ouvert dans un endroit discret et peu passant… Tout y était pourtant : l’esthétique, les techniques, le service… Des sentiments de peur et d’échec m’ont alors envahie… Est-ce que j’allais pouvoir vivre de ma passion ? Et tous ces sacrifices que nous avions faits avec mon mari, allaient-ils payer ? C’est alors que j’ai compris ce qu’il manquait : comme personne n’avait entendu parler de ce nouveau salon, nous ne pouvions pas avoir de clients ! Pour toucher de nouvelles personnes, nous devions COMMUNIQUER ! A ce moment-là en 2014, le réseau le plus utilisé était Facebook. J’ai donc commencé à publier mes travaux sur cette plateforme, en utilisant mon visage pour commencer, puis en créant des vidéos dans lesquels je montrais mon travail.
Je me souviens très bien des premiers mois après l’ouverture du salon. Le téléphone ne sonnait pas, personne ne connaissait ce nouveau salon ouvert dans un endroit discret et peu passant… Tout y était pourtant : l’esthétique, les techniques, le service… Des sentiments de peur et d’échec m’ont alors envahie… Est-ce que j’allais pouvoir vivre de ma passion ? Et tous ces sacrifices que nous avions faits avec mon mari, allaient-ils payer ? C’est alors que j’ai compris ce qu’il manquait : comme personne n’avait entendu parler de ce nouveau salon, nous ne pouvions pas avoir de clients ! Pour toucher de nouvelles personnes, nous devions COMMUNIQUER ! A ce moment-là en 2014, le réseau le plus utilisé était Facebook. J’ai donc commencé à publier mes travaux sur cette plateforme, en utilisant mon visage pour commencer, puis en créant des vidéos dans lesquels je montrais mon travail.
Après une année, les choses avaient commencé à s’installer, surtout grâce à ma présence en ligne qui s’était intensifiée. Les clients sont arrivés petit à petit, souvent par curiosité, mais aussi grâce au bouche à oreille. Je travaillais 6 jours sur 7, je ne refusais aucun client, pas même un jour férié. Je m’accrochais à mon rêve et étais prête à tout pour réussir, comme si ma vie en dépendait. A ce moment-là, je coiffais tout le monde : homme, femme et enfant. Puis j’ai réalisé que ce qui me satisfaisait le plus était de coiffer les femmes ! J’ai donc arrêté de prendre des rendez-vous homme ou enfant, me concentrant sur ce qui me passionnait : les couleurs, les balayages et les extensions. Pour moi, ce sont les techniques qui peuvent le mieux transformer une femme tout en laissant libre cours à la créativité ! D’ailleurs, celui qui ose dire que coiffer n’est pas un art connait bien mal ce métier !
Ouvrir un salon ayant du succès était un bon début, mais j’avais d’autres rêves que je voulais réaliser. Les produits que j’utilisais ne reflétant pas vraiment mon identité, j’ai donc décidé de me lancer dans le projet fou de créer ma propre marque de produits capillaires que je pourrai non seulement utiliser dans mon salon mais aussi proposer au public pour un usage à la maison.
Mais ce type de projet a un coût : pour pouvoir développer les produits personnalisés que je souhaitais et démarrer la production auprès d’une grande entreprise italienne, il fallait un minimum de commande de 100’000 CHF. Nous avons donc demandé un prêt aux banques, qui nous l’ont malheureusement refusé, ne croyant pas à notre projet. De plus, les engagements attendus de leur part étaient également trop compliqués pour nous. Heureusement, notre famille a proposé de nous aider pour lancer ce projet, ils y croyaient autant que nous !
Les produits et la marque Coiff’Emoi sont totalement inspirés de mon histoire : d’abord la création et le développement par une cette petite fille pleine de rêves devenue une femme qui sait ce qu’elle veut et ne lâche rien pour y parvenir puis la fabrication dans ce pays d’adoption qui m’a beaucoup inspirée, l’Italie.

Faire des choix gagnants
Avoir une marque a toujours été mon rêve, mais pour en faire une réalité, j’ai d’abord du me concentrer sur l’ouverture et le succès de mon salon et donc laisser ce rêve de côté pour un moment.
Après plusieurs années d’activités, je me suis rendue compte à quel point les produits que j’utilisais ne me satisfaisaient pas totalement et n’avaient pas les effets et les caractéristiques que je voulais pour ma clientèle. Il m’était alors devenu nécessaire d’investir dans une gamme de soins capillaires ayant cette qualité et ces paramètres que je recherchais. Afin d’avoir exactement ce que je voulais, j’ai décidé de me lancer dans le développement et la création de ma propre gamme de produits. Mais démarrer de zéro le développement et la production d’une marque n’est ni facile ni bon marché… J’ai alors dû faire des choix.
Dès le départ, j’ai choisi de donner la priorité à la performance de la formule et ai donc passé du temps avec des chimistes pour créer le produit le plus parfait possible. Je ne voulais absolument pas économiser sur les matières premières et dépenser plus pour le packaging ! Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous, j’ai alors choisi pour ma première gamme un seul emballage et la différenciation des produits se faisait grâce aux couleurs : vert pour le shampoing cheveux gras, rouge pour le shampoing couleur,… Le choix de ce premier packaging a été un succès, les clientes ont beaucoup apprécié la forme arrondie, qui leur faisait penser à une potion magique !
Le succès grandissant au fil des années, j’ai pu commander de plus grandes quantités auprès de mes fournisseurs. J’ai alors eu l’opportunité d’investir davantage dans la partie packaging et développer un design luxueux sur mesure. C’était exactement ce que je voulais ! Que ma marque reflète les valeurs que je veux véhiculer avec mon entreprise : la qualité et le luxe.
L’emballage a donc changé au fil des ans et continuera de changer, car la coiffure est un secteur où nous devons constamment évoluer pour répondre aux besoins du marché. Par contre, la formule est et restera toujours la même, car c’est celle sur laquelle j’ai passé du temps, travaillé dur avec des chimistes depuis le début et pour moi c’est vraiment LA MEILLEURE.
Pour les derniers packagings, j’ai proposé à mes clientes de participer à leur création via des sondages sur ma page Instagram. J’avais vraiment envie de partager avec elles les choix concernant ma marque, car je suis convaincue que d’avoir l’avis de ses clientes leur permet de mieux s’approprier le produit, car il correspondra plus à leurs attentes.
Comme vous avez pu le voir au travers de ce texte, j’ai toujours choisi d’écouter mon intuition, mes besoins et ceux de mes clientes. Pour moi, ce sont vraiment les meilleurs choix que j’ai pu faire et je continuerai à fonctionner ainsi !
Avoir un rêve !
Mon histoire commence à l’âge de deux mois, un âge dont on ne se souvient pas en général mais qui a été pour moi le début d’un beau voyage. J’ai été adoptée au Vietnam par un couple d’origine calabraise, qui m’a emmenée découvrir ce beau pays qu’est l’Italie. Ce pays m’a fait découvrir la qualité Made in Italy et le style italien, deux choses que je chéris tant qu’elles m’ont donné l’envie de créer ma propre marque, dont je vous parlerai plus en détails par la suite.
Continuons mon histoire… J’ai vécu en Italie jusqu’à mes 14 ans. A ce moment-là, mes parents ont décidé de venir en Suisse, pour diverses raisons liées à la crise économique en cours, mais aussi parce que ce pays leur a permis de m’adopter officiellement. J’étais dans l’adolescence lorsque je suis arrivée en Suisse, période sujette aux changements, durant laquelle notre identité se forme et on décide gentiment vers quel métier se diriger. Ce changement de pays m’a mise face à beaucoup de défis et de sacrifices. Oui, les changements font partie de la vie, même s’ils ne sont pas toujours souhaités… Ce qui m’a aidé à surmonter celui-ci a été d’avoir un objectif clair pour mon futur professionnel. J’ai assez vite senti que le monde de la beauté et plus particulièrement celui de la coiffure était exactement le monde dans lequel je voulais évoluer ! C’est aussi à ce moment-là que j’ai compris que l’on n’a pas rien sans rien et que je devrai retrousser mes manches et ne rien lâcher pour atteindre mes objectifs.
Je vais m’arrêter là pour cette première partie et pour l’illustrer, je vous laisse avec cette photo de moi enfant. Elle représente parfaitement la petite fille avec tellement de rêves qu’elle ne savait pas s’ils se réaliseraient un jour, mais qui avait déjà cette capacité à rêver toujours plus fort pour les réaliser.

Rêver ensemble c’est rêver plus grand !
Reprenons mon histoire, pour que vous compreniez comment je suis passée de cette petite fille rêveuse à cette femme qui a réalisé certains de ses rêves.
A 14 ans, j’étais sûre de ce que je voulais faire dans ma vie professionnelle : travailler dans le monde de la coiffure ! Je me suis donc lancée dans un apprentissage pour atteindre cet objectif. Oui c’était fatigant et ça demandait beaucoup d’énergie pour assimiler toutes les informations, les techniques, mais aussi comprendre et réaliser les souhaits des clientes. Pourtant à aucun moment je n’ai regretté mon choix, je savais que j’avais pris le bon chemin !
Au cours des années suivantes, j’ai rencontré l’amour de ma vie, mon mari et père de ma fille. Nous étions très jeunes, mais de suite nous nous sommes bien entendus et rendus compte que nous avions de beaux projets pour notre avenir, avec surtout une grande envie de les mettre en pratique !
Lorsque j’ai eu 19 ans, Yannick et moi avons décidé d’ouvrir une entreprise ensemble, nous permettant ainsi de combiner ma passion pour la coiffure avec ses compétences en leadership d’entreprise. Yannick a toujours eu l’oeil pour investir, il avait d’ailleurs déjà investi avec succès dans l’immobilier.
Nous avons décidé d’ouvrir le salon dans la vieille ville de Fribourg, dans une rue peu passante. Il nous a fallu beaucoup d’imagination pour transformer ce local en quelque chose de beau. Une chose était sûre : d’un point de vue esthétique, ce lieu devait refléter ma personnalité et ce même s’il y avait de nombreux travaux à faire. Nous avons rénové l’endroit de nos propres mains, avec l’aide d’amis dans le métier : changement de fenêtres, de portes et même de sanitaires. Le tout a pris deux mois, mais cela nous a vraiment permis de donner au lieu le look que je souhaitais. Le fait de l’avoir fait soi-même nous a permis d’avoir encore des fonds pour investir ensuite dans du matériel et des produits de qualité. Si vous avez créé votre entreprise en partant de zéro, vous savez qu’il y a beaucoup de choix à faire et d’énergie à investir. Les nôtres ont été payants !
Pour le logo et le nom, mon mari et moi voulions quelque chose qui représente la coiffure de manière simple, mais aussi élégante et glamour. C’est ainsi que notre logo et le nom ont pris forme. L’entreprise a été officiellement créée le 5 août 2014.
Je vous raconterai plus en détails le développement de Coiff’Emoi dans la prochaine partie et vous laisse avec cette photo de notre couple au début de Coiff’Emoi, des rêves plein la tête, que nous avons pu réaliser grâce à notre vision commune.

Comment je suis devenue coiffeuse pour femmes uniquement !
Je me souviens très bien des premiers mois après l’ouverture du salon. Le téléphone ne sonnait pas, personne ne connaissait ce nouveau salon ouvert dans un endroit discret et peu passant… Tout y était pourtant : l’esthétique, les techniques, le service… Des sentiments de peur et d’échec m’ont alors envahie… Est-ce que j’allais pouvoir vivre de ma passion ? Et tous ces sacrifices que nous avions faits avec mon mari, allaient-ils payer ? C’est alors que j’ai compris ce qu’il manquait : comme personne n’avait entendu parler de ce nouveau salon, nous ne pouvions pas avoir de clients ! Pour toucher de nouvelles personnes, nous devions COMMUNIQUER ! A ce moment-là en 2014, le réseau le plus utilisé était Facebook. J’ai donc commencé à publier mes travaux sur cette plateforme, en utilisant mon visage pour commencer, puis en créant des vidéos dans lesquels je montrais mon travail.

Après une année, les choses avaient commencé à s’installer, surtout grâce à ma présence en ligne qui s’était intensifiée. Les clients sont arrivés petit à petit, souvent par curiosité, mais aussi grâce au bouche à oreille. Je travaillais 6 jours sur 7, je ne refusais aucun client, pas même un jour férié. Je m’accrochais à mon rêve et étais prête à tout pour réussir, comme si ma vie en dépendait. A ce moment-là, je coiffais tout le monde : homme, femme et enfant. Puis j’ai réalisé que ce qui me satisfaisait le plus était de coiffer les femmes ! J’ai donc arrêté de prendre des rendez-vous homme ou enfant, me concentrant sur ce qui me passionnait : les couleurs, les balayages et les extensions. Pour moi, ce sont les techniques qui peuvent le mieux transformer une femme tout en laissant libre cours à la créativité ! D’ailleurs, celui qui ose dire que coiffer n’est pas un art connait bien mal ce métier !
Ouvrir un salon ayant du succès était un bon début, mais j’avais d’autres rêves que je voulais réaliser. Les produits que j’utilisais ne reflétant pas vraiment mon identité, j’ai donc décidé de me lancer dans le projet fou de créer ma propre marque de produits capillaires que je pourrai non seulement utiliser dans mon salon mais aussi proposer au public pour un usage à la maison.
Mais ce type de projet a un coût : pour pouvoir développer les produits personnalisés que je souhaitais et démarrer la production auprès d’une grande entreprise italienne, il fallait un minimum de commande de 100’000 CHF. Nous avons donc demandé un prêt aux banques, qui nous l’ont malheureusement refusé, ne croyant pas à notre projet. De plus, les engagements attendus de leur part étaient également trop compliqués pour nous. Heureusement, notre famille a proposé de nous aider pour lancer ce projet, ils y croyaient autant que nous !
Les produits et la marque Coiff’Emoi sont totalement inspirés de mon histoire : d’abord la création et le développement par une cette petite fille pleine de rêves devenue une femme qui sait ce qu’elle veut et ne lâche rien pour y parvenir puis la fabrication dans ce pays d’adoption qui m’a beaucoup inspirée, l’Italie.
Faire des choix gagnants
Après plusieurs années d’activités, je me suis rendue compte à quel point les produits que j’utilisais ne me satisfaisaient pas totalement et n’avaient pas les effets et les caractéristiques que je voulais pour ma clientèle. Il m’était alors devenu nécessaire d’investir dans une gamme de soins capillaires ayant cette qualité et ces paramètres que je recherchais. Afin d’avoir exactement ce que je voulais, j’ai décidé de me lancer dans le développement et la création de ma propre gamme de produits. Mais démarrer de zéro le développement et la production d’une marque n’est ni facile ni bon marché… J’ai alors dû faire des choix.
Dès le départ, j’ai choisi de donner la priorité à la performance de la formule et ai donc passé du temps avec des chimistes pour créer le produit le plus parfait possible. Je ne voulais absolument pas économiser sur les matières premières et dépenser plus pour le packaging ! Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous, j’ai alors choisi pour ma première gamme un seul emballage et la différenciation des produits se faisait grâce aux couleurs : vert pour le shampoing cheveux gras, rouge pour le shampoing couleur,… Le choix de ce premier packaging a été un succès, les clientes ont beaucoup apprécié la forme arrondie, qui leur faisait penser à une potion magique !
Le succès grandissant au fil des années, j’ai pu commander de plus grandes quantités auprès de mes fournisseurs. J’ai alors eu l’opportunité d’investir davantage dans la partie packaging et développer un design luxueux sur mesure. C’était exactement ce que je voulais ! Que ma marque reflète les valeurs que je veux véhiculer avec mon entreprise : la qualité et le luxe.
L’emballage a donc changé au fil des ans et continuera de changer, car la coiffure est un secteur où nous devons constamment évoluer pour répondre aux besoins du marché. Par contre, la formule est et restera toujours la même, car c’est celle sur laquelle j’ai passé du temps, travaillé dur avec des chimistes depuis le début et pour moi c’est vraiment LA MEILLEURE.
Pour les derniers packagings, j’ai proposé à mes clientes de participer à leur création via des sondages sur ma page Instagram. J’avais vraiment envie de partager avec elles les choix concernant ma marque, car je suis convaincue que d’avoir l’avis de ses clientes leur permet de mieux s’approprier le produit, car il correspondra plus à leurs attentes.
Comme vous avez pu le voir au travers de ce texte, j’ai toujours choisi d’écouter mon intuition, mes besoins et ceux de mes clientes. Pour moi, ce sont vraiment les meilleurs choix que j’ai pu faire et je continuerai à fonctionner ainsi !

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Emma Grace Williams



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